Les caractéristiques du projet

Les communes concernées par le projet

  • Le bassin versant des collectes sélectives multimatériaux du projet comprend neuf communes de Seine-Saint-Denis (Bagnolet, Bobigny, Bondy, Le Pré-Saint-Gervais, Les Lilas, Montreuil, Noisy-le-Sec, Pantin et Romainville) et tout ou partie de dix arrondissements parisiens (1er, 3ème, 4ème, 8ème, 9ème, 10ème, 11ème, 17ème, 18ème, 19ème, et 20ème).

 

  • Le bassin versant des ordures ménagères résiduelles du projet comprend vingt-sept communes de Seine-Saint-Denis réparties sur trois Etablissements Publics Territoriaux de la métropole du Grand Paris : Est Ensemble, Paris Terres d’Envol et Grand Paris Grand Est (Tremblay en France, Villepinte, Sevran, Livry-Gargan, Clichy-sous-Bois, Vaujours, Aulnay sous-Bois, Le Bourget, Le Blanc-Mesnil, Dugny, Drancy, Le Raincy, Gagny, Les Pavillons-Sous-Bois, Coubron, Neuilly-Sur-Marne, Neuilly-Plaisance, Rosny-sous-Bois, Bondy, Noisy-le-Sec, Montreuil, Romainville, Bagnolet, Les Lilas, Le Pré-Saint-Gervais, Pantin, Bobigny) ainsi que le 19ème et une partie du 20ème arrondissement de Paris.
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Les caractéristiques essentielles du futur centre

  • Une implantation à Romainville (parcelle actuelle et parcelle Intergoods situées rue Anatole France) et à Bobigny (parcelle Mora-le-Bronze située Avenue de Paris).

 

 

Les procédés techniques envisagés en fonction des flux réceptionnés sur le site

  • Une extension de la capacité de tri des collectes sélectives multimatériaux (papiers, emballages en plastique, en carton, en métal ou en aluminium) de 45 à 60 000 tonnes par an pour accompagner l’évolution de ce type de collecte, prévue par la réglementation et encouragée par le Syctom.

 

  • La réception sur site de 30 à 40 000 tonnes de biodéchets par an, la préparation et le transfert par voie fluviale en vue d’un traitement sur un site externalisé. Une partie minoritaire du gisement pourra être valorisée sur le site sous forme de compost pour couvrir les besoins locaux.

 

  • Le maintien de l’activité déchèterie (réception d’un flux de 15 à 20 000 tonnes par an), et la création d’une ressourcerie/atelier de réparation (idem), pour favoriser le réemploi des objets apportés par les riverains

 

  • Trois solutions sont à l’étude concernant les Ordures Ménagères Résiduelles (OMR), avec réception de 250 000 à 350 000 tonnes par an :
    • Solution n°1 : réception sur site des OMR et transfert par voie fluviale.
    • Solution n°2 : Préparation, conditionnement et constitution d’un stock tampon pour tout ou partie du flux d’OMR puis transfert par voie fluviale
    • Solution n°3 : Production de Combustible Solide de Récupération (CSR) à partir des OMR, valorisation d’une partie du flux dans une chaufferie CSR implantée sur site permettant de couvrir partiellement les besoins énergétiques du territoire en appoint d’autres énergies envisagées et disponibles localement, parmi lesquelles la géothermie (solution actuellement à l’étude). Transfert par voie fluviale pour les flux non valorisés sur site.
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